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Parquets… les bonnes pratiques de mise en œuvre

Par admin

Le parquet est un revêtement confortable et sain, respectueux de l’environnement.

Dans l’esprit d’une large partie du public, tout revêtement de sol ayant un parement en bois est du parquet. En fait, le mot « parquet » désigne tout revêtement à base de bois dont le parement est en bois et permet plusieurs rénovations (ponçages plus ou moins profonds). Selon la norme NF EN 13756, l’épaisseur minimale du parement de bois doit être au minimum de 2,5 mm. Les revêtements de sol en bois qui ne respectent pas cette cote ne peuvent prétendre à l’appellation « parquet ». Pour les professionnels, le mot « parquet » est souvent un ensemble qui comprend la sous-couche et même parfois la colle. Il en existe de différentes catégories, de même qu’il existe différents types de pose.

Photos : UFFEP

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Un revêtement pour l’environnement

La production française de parquets est pour sa grande majorité tournée vers les essences locales (chêne, hêtre, châtaignier, pin…), mais l’on trouve aussi (le plus souvent d’importation) des essences exotiques (bossé, iroko, tauari, tatajuba, framiré, teck, sapelli, niangon, mengkulang, palapi, tiama, padouk…). Le parquet est un des seuls matériaux de construction à être issu d’une matière première naturelle et intégralement renouvelable. Privilégier le parquet, c’est contribuer à améliorer l’exploitation des forêts qui s’agrandit chaque année de 30 000 hectares (50 000 terrains de football !). Les parquets réclament très peu de transformations et font partie des matériaux les moins gourmands en énergie.

 

Photos : UFFEP

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Les sous-couches

La sous-couche dépend tout à la fois du type de pose et de la nature du parquet. Les principaux critères sont à vérifier sur les fiches techniques et/ou l’emballage des produits. Une sous-couche peut prendre en compte l’isolation thermique ou acoustique, mais désolidarise toujours le parquet de son support : on dit alors qu’il est flottant. Les isolants sont tous destinés à réduire les bruits d’impact. Ils se présentent soit en rouleaux d’une épaisseur de 1,5 à 4 mm (polyéthylène expansé ou réticulé, mousses polyuréthanes, films polyester, feutre asphalté…), soit en panneaux (fibres de bois asphaltés, Phaltex de 5-8-10 mm d’épaisseur, liège de 2 ou 4 mm…)…

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